Actualités
Les dernières nouvelles de La Fête !
En rediffusion : Mlle Bottine dans les médias
Exclusivité
La Fête adaptera Le Petit astronaute pour le grand écran
La Fête est fière de transformer des histoires marquantes en expériences cinématographiques inoubliables. Avec l’acquisition des droits d’adaptation du roman graphique Le Petit astronaute de Jean-Paul Eid, nous nous apprêtons à donner vie à un récit puissant qui résonne avec les valeurs de résilience, d’amour et de diversité. Découvrez ce projet unique qui promet d’émouvoir et d’inspirer.
La Presse
Un classique qui fête ses 40 ans
La Presse
Un classique qui fête ses 40 ans
Le samedi 4 janvier, à 11 h, le Cinéma Haskell, à Stanstead, célèbre le 40e anniversaire d’un classique du cinéma québécois, Opération beurre de pinottes (The Peanut Butter Solution), de Michael Rubbo.
Showbizz.net
Antoine Bertrand présente Mlle Bottine : « On a tous besoin de se faire parler un peu d'amour »
Si ce n'est déjà fait après leurs apparitions télévisées des dernières semaines, c'est à compter de ce vendredi 29 novembre que vous pourrez succomber au charme du duo, aussi improbable que craquant, formé d'Antoine Bertrand et Marguerite Laurence, qui se partagent la vedette de la nouveauté Mlle Bottine au cinéma.
La Presse
La différence enluminée
Le dernier album du bédéiste Jean-Paul Eid s’intitule Le petit astronaute, mais ce n’est ni une aventure de science-fiction ni un conte pour enfants. Il s’agit de l’histoire heureuse – et touchante – d’un garçon atteint de paralysie cérébrale et de sa famille. Et c’est « de loin » son œuvre la plus personnelle.
Le Droit
Une soirée mémorable avec Antoine Bertrand et Marguerite Laurence sur le plateau de Tout le monde en parle
Lors de l’émission Tout le monde en parle, le duo formé par Antoine Bertrand et Marguerite Laurence a présenté Mlle Bottine, une relecture touchante et moderne du classique Bach et Bottine.
Le Soleil
Retomber en amour avec notre cinéma
Le cinéma québécois renoue avec le box-office. Après qu‘on l’ait accusé d’être déprimant ou trop élitiste, des jugements trop sévères à mon avis, voilà que des titres comme Nos belles-sœurs et 1995 ont fait sauter la banque dans la dernière année.
